L'Histoire D'Abraham deuxième partie
Adim Steinsaltz à écris : étudier la Torah, ce n’est pas simplement accomplir un commandement, une mitzvah, c’est se retrouver aussi proche que possible du Tout-Puissant.
Bonne lecture de l’étude 2.
Chapitre 17 : 11-12 du livre de la Genèse.
L'envoyé du Seigneur lui dit encore : « Te voici enceinte, et près d'enfanter un fils ; tu énonceras son nom Ismaël, parce que Dieu a entendu, ton affliction.
Celui-ci sera un onagre parmi les hommes ; sa main sera contre tous, et la main de tous contre lui ; mais il se maintiendra à la face de tous ses frères. »
Il s'agit bien d'une annonce prophétique qui concerne la nation Arabe, (Ismaël est le père des Arabes), quarante siècles plus tard, chacun peut constater sa réalité, la caractéristique de l'Arabe, c'est ce caractère de fierté orgueilleuse et d'insoumission, comme Dieu l'avais dit dans ce texte.
Dans son livre « Jérusalem dans le Coran », Imram N. Hosein écrit à la page 42 :
si les Arabes ne sont pas un « peuple », s'ils ne sont que des « cafards » comme l'a déclaré l'ancien Premier ministre Shamir, n'ont-ils pourtant pas permis aux juifs de vivre parmi eux pendant plus de deux mille ans ?
Les Arabes garantirent aux Juifs la sécurité de leurs vies et de leurs propriétés lorsqu'ils vécurent parmi eux au sein des terres arabes pendant plus de deux mille ans. Les Arabes firent tout cela et plus encore à une époque où le reste du monde avait fermé ses portes aux Juifs, ou les avait contraints à contrecœur, à vivre dans des ghettos.
Les Arabes agirent ainsi parce qu'ils possédaient encore les « vestiges » de la religion d'Abraham qui leur étaient parvenus par Ismaël.
Cela n'est pas totalement juste car malheureusement il y eut des massacres du vivant de Mohamed et pour certains ghettos, les Juifs ne voulaient pas être mélangés avec les autres populations, mais Imran N. Hosein confirme la parenté avec Ismaël.
Rappel historique :
En 627, Muhammad décide d'en finir avec la tribu des Banu-Kuraiza, qu'il accuse d'avoir soutenu ses ennemis ; sur son ordre, les musulmans décapitent 600 à 700 hommes (d'autres sources écrivent 600 à 900 victimes) s'emparent des biens de la tribu, et vendent les femmes et les enfants en esclavage.
Même époque : expulsion des Nadir et leur massacre.
Prise de l'oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet, chacun peut effectuer des recherches pour se faire sa propre opinion !
Si Sara avait dialogué avec Abraham, elle n'aurait certainement pas suggéré à son mari d'aller voir sa servante, seulement voilà c'est arrivé, et aujourd'hui on constate les conséquences.
Rappel.
24 ans qu'Abraham a quitté sa patrie par obéissance à Dieu, il a maintenant 99 ans, et une question se pose : crois-t-il toujours aux deux promesses de Dieu ?
1-Je rendrai ta race semblable à la poussière de la terre ; tellement que, si l'on peut nombrer la poussière de la terre, ta race aussi pourra être nombrée. (13 :16).
2-Celui-ci n'héritera pas de toi ; c'est bien un homme issu de tes entrailles qui sera ton héritier, (15 :4)
Le Coran conteste cette version de l'histoire, la Sourate Maryam 19 :54-55 : mentionne Ismaël dans le livre :
Il respectait la foi jurée. Ce fut un prophète. Il recommandait la prière et la charité aux siens. Il était l'élu de son Seigneur.
La Sourate AS-SAFFAT 37 : 99-113 est une version totalement différente du récit de la Genèse, une autre Sourate, Sûratu-Annisa 4 :45 dit : parmi les Juifs, il y en a qui falsifient l'origine des mots.
(Coran traduit et commenté par Dr.Noureddine Bin Mahmoud)
Nous avons de grosses difficultés avec le temps, de plus Dieu ne raisonne pas comme nous, Il est patient et miséricordieux car il va renouveler clairement sa promesse :
Dieu dit à Abraham :
« Saraï, ton épouse, tu ne l'appelleras plus Saraï, mais bien Sara (princesse). Je la bénirai, en te donnant, par elle aussi, un fils ; je la bénirai, en ce qu'elle produira des nations et que des chefs de peuples naîtront d'elle. (17 :15-16).
Analogie entre Sara et Marie.
Dans les Evangiles une femme du nom de Marie est choisie pour mettre au monde le Messie, et Sara deux mille ans plus tôt pour être la mère du peuple hébreu. Ces deux femmes vont avoir un rôle très important, elles sont ordinaires, créatures de chair et de sang n'ayant aucune influence sur le créateur. Si nous avons la capacité d'obéir ou de désobéir en aucun cas on peut l'influencer le Créateur, Paul a écrit que notre foi doit être fondée non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu, (1 Corinthiens 1 : 5 ).
Réaction d'Abraham.
(17 : 17 ), Abraham tomba sur sa face et sourit ; et il dit en son cœur : « Quoi ! Un centenaire engendrerait encore ! Et à 90 ans, Sara deviendrait mère ! »
Ne Blâmons pas Abraham, mais essayons de le comprendre : il a 100 ans et ce que Dieu lui promet dépasse ce que la raison peut admettre !...... Un centenaire et une nonagénaire qui donneront naissance à un enfant,c'est impossible.
Dieu ne lui fait aucun reproche et il lui répond sans le moindre blâme, quelle différence dans nos relations horizontale. Lorsqu’une personne nous partage une pensée qu'elle croit venir de Dieu après une longue réflexion et que cela dépasse la raison, on a tendance à décourager la personne au lieu de prier avec elle et de sonder l'Écriture.
Le rire d'Abraham est t'il le signe d'une incrédulité ? Ou une manifestation d'étonnement ? Il tombe sur sa face, posture d'adoration courante chez les Orientaux, une incrédulité ne provoque rien de semblable, on n'y croit pas, un point c'est tout.
Dieu va au contraire être encore plus précis :
verset 21, Sara t'enfantera à pareille époque, l'année prochaine.
Abraham à bien les pieds sur terre, et il se soucie de l'avenir d'Ismaël.
Arrêtons-nous un instant sur l'extraordinaire humanité d'Abraham, sa sensibilité, son cœur et ses réactions devraient aussi être les autres.
Il sait qu'Ismaël n'est pas l'enfant de la promesse, mais le fruit d'un arrangement entre trois personnes consentantes, l'Épître aux Galates dit :
Abraham eut deux fils ; l'un de l'esclave, (Agar), et l'autre de la femme libre, (Sara).
Mais celui de l'esclave naquit selon la chair ; et celui de la femme libre naquit en vertu de la promesse. (4 : 22-23 ).
Paul l'auteur de ces textes ajoute : ces choses sont allégoriques ; car ces deux femmes sont deux alliances, l'une du mont Sinaï, qui enfante des esclaves, et c'est Agar.
Car Agar signifie le mont Sinaï, en Arabie, et elle correspond à la Jérusalem d'à présent, qui est, en effet, esclave avec ses enfants ; mais la Jérusalem d'en haut est libre, et c'est elle qui la mère de nous tous.
Imra Hossein, « Jérusalem dans le Coran » parle d'une obsession pour Jérusalem et la terre sainte (page 189), moi je parlerai plutôt d'une idolâtrie pour Jérusalem, et cela concerne les Juifs, les chrétiens et les Arabes, on est les témoins d'une incroyable instrumentalisation mystique de cette cité millénaire.
Dans cette comparaison allégorique fréquente chez les sages Juifs , Paul s'exprime comme un disciple des Rabbins qu'il a été( disciple de Gamaliel, parenté de Hillel venant de Babylone) , Agar correspond à la Jérusalem actuelle, placé encore sous le joug de la loi mosaïque( Halakhah) et Sara la femme libre et légitime, qui enfanta Isaac en vertu de l'action du Créateur, la Jérusalem d'en haut , c'est la communauté que préside le Messie Yéchoua, les libres, une postérité innombrable , plus nombreuse que celle du peuple ancien.
Esaïe l'a prophétisé : réjouis-toi, femme stérile qui n'a point enfanté ! Fais éclater ton allégresse et chante, toi qui n'as pas été en mal d'enfant ! Car plus nombreux seront les enfants de la femme délaissée que de la femme mariée, a dit l'Éternel, (53 : 1 ).
Pour Zadoc Kahn, le prophète s'adresse à Jérusalem ! S'il existe un « Christocentrisme », il y a également un « Judéo-centrisme », pour les commentateurs Juif, le texte Esaïe 53 concerne le peuple hébreu ou Jérusalem, parfois j'ai l'impression que la Bible est comme une pâte à modeler !
Pour conclure sur ce texte qui compare Sara et Agar, aujourd'hui les Fils selon la chair prennent en haine les fils de la Promesse avec un grand P, comme en son temps Ismaël prit en haine son frère Isaac, sauf qu'ils se sont réconciliés et étaient présent à l'enterrement de leur père. (Genèse 25 : 9 )
Abraham aime Ismaël, il ne peut s'empêcher de dire à Dieu : « Puisse Ismaël, à tes yeux, mériter de vivre ! », il a le soucie du devenir d'Ismaël, il ne justifie nullement son erreur, il angoisse pour l'avenir de son enfant.
J'imagine son commentaire, si seulement je n'avais pas écouté ma femme, si mon erreur n'annule en rien les promesses de Dieu, deux enfants aux origines différentes vont devoir cohabités. Je comprends maintenant que le premier est l'enfant de la chair (volonté humaine) et le second celui de la promesse (volonté de Dieu), il est impossible de revenir en arrière, quel déchirement pour moi Seigneur.
Quelle leçon pour nous aujourd'hui ?
Au lieu de nous confier en Dieu et de chercher conseil dans sa Parole, nous écoutons avec trop de confiances les conseils des uns et des autres ou nous nous écoutons nous-même, et ainsi nous créons des complications dans notre vie, à l'exemple d'Abraham nous devons y faire face avec responsabilité et courage et en tirer des leçons.
Il nous est arrivé de nous compliquer la vie et de rendre celle-ci difficile et nous empêchons l'accomplissement de la volonté de Dieu, certain pour se rassurer, parle d'un chemin de croix voulu par Dieu, est-ce toujours le cas ? Le mieux c'est de reconnaître nos erreurs, et de redonner le contrôle de notre vie à Dieu.
Attention à nos impatiences, nos impulsions personnelles, nos décisions pris dans l'urgence, les conséquences suivent en général.
Dieu entend Abraham et le rassure sur le devenir d'Ismaël :
Quant à Ismaël, je t'ai exaucé : oui, je l'ai béni ; je le ferai fructifier et multiplier à l'infini ; il engendrera douze princes et je le ferai devenir une grande nation. (17 : 20 ).
Et n'en déplaise au lecteur Coranique :
Pour mon alliance, je la confirmerai sur Isaac, que Sara t'enfantera à pareille époque, l'année prochaine. (17 : 21 ).
Quatre mille ans après, les Arabes forment un grand peuple à l'histoire riche, la Bible contient un bon nombre de références aux relations étroites qui unissaient Arabes et Juifs ; le livre de Job, de même que celui des proverbes contiennent de nombreux mots arabes. Quelques paragraphes de la Michna, (signifie « répéter », étude de la tradition orale, aujourd'hui première partie du Talmud de Babylone), font référence aux Juifs vivant dans la péninsule d'Arabie.
Le conflit d'Israël avec les Arabes ne se limite pas seulement avec les Palestiniens, selon le Coran les Juifs en tant que « peuple du livre », ne sont pas considérés comme des non-croyants, car ils partagent la croyance monothéiste, cependant, ils ne sont pas considérés comme de vrais croyants, parce qu'ils ont manqué au devoir de croire au Coran et de na pas avoir reconnu la mission divine de Mahomet.
Quand on lie le commentaire Imran N. Hosein à la page 203, la cassure est nette :
Si les Juifs n'avaient pas réécrit la Torah, en y ajoutant ce mensonge contre Ismaël (alayli salam), le fils d'Abraham, il aurait été plus simple pour lui de discerner la tromperie et le piège inhérent au diabolique plan sioniste pour déposséder les Arabo-musulmans de la terre sainte, dans le but de restaurer l'État d'Israël. La description d'Ismaël, le prophète d'Allah le très haut, qui est donné dans le Coran, révèle clairement que cette affirmation de la Torah est une falsification et un mensonge contre Allah le très haut.
Sourate de Maryant 19 : 54-55 , (Ismaël) respectaient la foi jurée. Ce fut un prophète. Il recommandait la prière et la charité aux siens. Il était l'élu de son Seigneur.
Maintenant, Abraham est convaincu qu'il va avoir un fils, sa longue attente arrive à son terme, la preuve, il va circoncire toute sa famille selon l'ordre reçue de Dieu, (17 : 11-12 ), la Bible rapporte qu'Abraham était âgé de 99 ans et Ismaël de 13 ans au moment de la circoncision.
Visite des Anges et rire de Sara, chapitre 18.
Le début de ce chapitre nous montre un Abraham assis à l'entrée de sa tente, pendant la chaleur du jour, certainement il médite dans son cœur car le texte dit que Dieu se révéla à lui et qu'il avait les yeux baissé. Puis soudainement, il leva ses yeux, et aperçu trois personnages à l'extérieur de la tente, parce que le texte dit qu'il courut à eux du seuil de celle-ci. Le fait qu'il se prosterne signifie que ses trois personnages ont une apparence particulière ?
Aujourd'hui, les contraintes de la vie moderne ne nous permettent pas de méditer au calme, comme Abraham, en Orient la vie semble s'arrêter aux heures chaudes de la journée, en Occident, nous avons la piscine, la climatisation, la sieste, un agenda démentiel et des loisirs s'ajoutent. Le problème en occident, c'est l'activisme avec comme inconvénient un non-repos intérieur faute de calme.
Bien qu'Abraham, informât Sara des préparatifs pour honorer ses trois personnages exceptionnels, celle-ci ne participe pas au partage du repas, d'où la question des trois invités, « Où est Sara ta femme ? ». Il s'agit de toute évidence de « malakh » (d'ange), ils connaissaient Sara sans l'avoir jamais vue et ils reconfirment qu'ils vont avoir un enfant.
Dans la culture orientale, les femmes se tiennent à l'écart, c'est pourquoi Abraham, à la question des anges, répond, elle est dans la tente.
Bien âgée, Sara va entendre toute la conversation depuis l'entrée de sa tente, est-ce la première fois qu'elle prend connaissance de cette incroyable nouvelle, « elle va enfanter », sa réaction démontre que oui, » elle rit en elle-même » et dit : flétri par l'âge, ce bonheur me serait réservé ! Et mon époux est un vieillard ! »
C'est qui est surprenant, c'est qu'ayant une réaction semblable à celle de son mari à la première nouvelle, le seigneur dit à Abraham, « pourquoi Sara a-t-elle ri » ? Parce-ce qu'Abraham l'a gardé pour lui ? Ou parce que le rire de Sara est jugé comme une réaction d'incrédulité ?
Lisons une traduction du Rabbinat français, (édition de 1899).
« Abraham tombe sur sa face et sourit, et il dit en son cœur : quoi, un centenaire engendrerait encore ! Et à 90 ans Sara deviendrait mère ! »
Plutôt que de l'incrédulité, il semble que ces paroles expriment une profonde stupéfaction et comme un joyeux étonnement ? Ne peut-on pas rapprocher cela de la réaction de Marie dans les Evangiles à l'écoute de ce que l'ange Gabriel lui annonce, et même chose pour Joseph son fiancé ?
Réponse de Marie à l'ange Gabriel : comment cela se fera-t-il puisque je ne connais pas d'homme ? (Luc 1 ; 34).
Dieu pose une question à Abraham : est-il rien d'impossible au Seigneur ? ET Dieu répond lui-même : au temps fixé, à pareille époque, je te visiterai, et Sara sera mère. (18 : 14 ).
Il y a une incrédulité qui se tait et se cache en nous, elle se manifeste sur des choses difficiles à croire, sans trop nous en rendre compte, nous demeurons fermés à certains enseignements ou à la réalisation de certaines promesses. Le Messie Yéchoua nous avertit de cela, par une question :
À mon retour, trouverai-je encore la foi sur terre ?
Le peuple Juif en a fait la triste expérience, Ben Zoma a dit (Ordre Zera’im, Berakhot 12b 93) :
Le souvenir de la sortie d’Egypte sera-t-il encore présent aux jours du Messie ?
Sara à l'écoute, protesta en disant : « Je n'ai point ri » ; car elle avait peur ! Souvenez-vous que le sentiment de peur paralyse la foi et la bonne attitude, Sara est conduite à mentir. Il ne sert à rien de mentir surtout à des Anges envoyés par Dieu, voyez-vous la différence avec l'attitude d'Abraham lorsque lui aussi se mit à rire !
Destruction de Sodome, chapitre 18 et 19.
La venue des trois anges à une autre raison, la destruction de Sodome, ils cachèrent cela à Abraham, car c'est un sujet sensible pour lui, son neveu Loth réside avec sa famille dans cette ville à la réputation sulfureuse, et il craint le roi de Sodome pour une raison évoqué plus haut.
Dieu est sensible à la personne d'Abraham, alors il se dit « Tairai-je à Abraham ce que je veux faire ? », dans les passages suivant du verset 18 à 19, on comprend que l'Eternel va agir pour épargner à Abraham une épreuve supplémentaire.
Informé de la destruction de Sodome, Abraham dit à l'Éternel :
« Anéantirais-tu, d'un même coup, l'innocent avec le coupable ? », Dieu sait parfaitement qu'Abraham pense à son neveu
. (On dit dans le milieu des affaires Juives, qu'Abraham a était le premier « marchander »).
(Lire les versets 24 à 32).
« Même si le tranchant d'une épée est posé sur son cou, l'homme ne désespérera pas de la miséricorde divine ».
Seule la prière et la téchouva pourront changer le cours des choses. Il est certain qu'Abraham avait tout fait pour sauver Sodome, Dieu avait attendu qu'Abraham épuise tous les arguments en faveur du sauvetage de Sodome, le verset 33 du chapitre 18 se termine ainsi :
« Le Seigneur disparut, lorsqu'il eut achevé de parler à Abraham ; et Abraham retourna à sa demeure. »
La réputation des habitants de Sodome confirme bien le verset 20 du chapitre 18, L'attitude de Loth à la vue des deux envoyés de Dieu, démontre que son oncle l'a bien éduqué : il alla à leur rencontre et se prosterna la face contre terre, ses deux envoyés sont bien des anges et cela n'échappe pas à Loth, spontanément, il leur offre l'hospitalité. (19 : 1-3 )
Le verset 19 du chapitre 18 dit :
Si je l'ai distingué, c'est pour qu'il prescrive à ses fils et à sa maison après lui d'observer la voie de l'Éternel, en pratiquant la vertu et la justice ; afin que l'Éternel accomplisse sur Abraham ce qu'il a déclaré à son égard.
Abraham par son témoignage, à montrer son attachement à Dieu en enseignant à tous sont entourage l'amour, la crainte et le respect de Dieu, on peut déjà à ce stade affirmer qu'il a fait la même chose dans sa propre maison , il a élevé son neveu comme son propre fils, et cela va sauver Loth.
Informé de la présence d'invités dans la maison de Loth, les gens de la ville, jeunes et vieux s'attroupèrent autour de la maison de Loth, (eux les identifient comme de simples humains), mais cela ne justifie pas leur arrogance. » Fais les sortir vers nous, que nous les connaissions ! »
Le désordre moral et social de Sodome est tel que Dieu n'a d'autre choix que de la détruire, de toute évidence, elle atteint un degré de gravité sans pareil parmi d'autre peuple.
Pour bien comprendre l'intention des habitants de Sodome, « fait les sortir vers nous, que nous les connaissions ! », il faut prendre connaissance de la réponse de Loth :
« Écoutez ! J'ai deux filles qui n'ont pas encore connu d'homme, je vais vous les amener, faites leur ce que bon vous semblera. Mais ces hommes, ne leur faites rien, car enfin ils sont venus s'abriter sous mon toi. »
Vous savez maintenant pourquoi, on appeler les habitants de Sodome, « des sodomites », la débauche et l'impudicité, avaient des proportions très grandes. Ils s'en prirent avec agressivité à Loth et se mirent à enfoncer la porte de son domicile, et c'est à ce moment-là que les anges prirent les choses en mains. (19 : 10-11 ).
Dieu exauce Abraham pour sauver son neveu Loth, les anges lui dirent, toi et les tiens fuyaient cette ville, ses gendres ne le prirent pas au sérieux, aussi, il fuit avec deux de ses filles et son épouse, l'un des anges dit à Loth, ne regarde pas en arrière, dirige-toi vers les montagnes, Loth semblable à son oncle fit une demande : Puis-je plutôt me réfugier dans cette petite ville ? (19 : 19-22 ).
Hélas, l'épouse de Loth se retournant devint une statue de sel, pourquoi ? Elle pensée peut-être que ses deux autres filles qui étaient restées auprès de leurs époux dans la ville, avait changeaient d'avis ? C'est pourquoi elle se retourna.
Fin de la deuxième partie.
Jean-Jacques Albors
4 commentaires
1 - dimanche 04 octobre 2015 @ 17:45 Patrick a dit :
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2 - mardi 03 novembre 2015 @ 19:58 test psychotechnique obligatoi a dit :
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3 - mardi 03 novembre 2015 @ 21:50 test psychotechnique gratuit p a dit :
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4 - vendredi 11 décembre 2015 @ 22:00 Florian a dit :
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